jeudi 24 mai 2007

Téléphoner de l'enfer à la terre, c'est possible ...

Trois individus de nationalité américaine, britannique et sénégalaise meurent dans un accident et se retrouvent tous en Enfer.

Quelques temps après, l'américain désireux de savoir si enfin, Ben Laden a été attrapé, sollicite la possibilité de passer un coup de fil vers l'Amérique. Le diable accepte et aussitôt le coup de fil terminé, il lui facture les trois minutes à 3 millions de dollars. L'américain sort son carnet de chèques et s'acquitte de sa dette sans souci.

Le britannique, à son tour sollicite la même faveur, afin de s'enquérir de la santé de la Reine Elisabeth. Le diable accepte et lui facture, aussitôt la conversation achevée, les trois minutes à 4 millions de livres sterling que notre cher ami britannique s'empresse de payer...

Ce fut, enfin le tour du pauvre sénégalais. Ce dernier hésitant du fait de la faiblesse de ses moyens, se décide quand même à demander l'autorisation d'appeler en Afrique pour avoir des nouvelles du Sénégal et du continent. Satan accepte et là commence une longue conversation téléphonique au cours de laquelle notre cher ami Sénégalais apprend qu'une guerre civile fait

rage en Côte d'Ivoire, au Congo, au Soudan, que le sida continue de progresser sur l'ensemble du continent, que les Togolais s'affrontent, que le Joola a coulé avec plus de 2000 morts, que Abdoulaye Wade est devenu fou, il a vendu une partie du Sénégal à George Bush, il brûle les Sénégalais les plus noirs pour avoir de l'énergie pour la SENELEC, que la famine
et les criquets sévissent au Burkina et au Mali, etc...etc...etc...

La conversation s'achève enfin au bout de dix heures. Le Sénégalais osant à peine regarder le diable, lui demande en bégayant, le prix de la communication c'est combien? Le diable tout serein répond : Oh, pour les dix heures ça fait tout juste 150 FCFA.

Surpris, le Sénégalais demande : Mais co.....co....comment ça se fait ?? Le diable lui répond : Et bien mon cher Africain, de l'Enfer à l'Enfer, c'est un appel local.

lundi 21 mai 2007

Ni marxisme ni capitalisme, l’Evangile du Christ pour libérer les pauvres


Du mercredi 09 au dimanche 13 mai 2007, le Pape Benoît XVI s’est rendu au Brésil pour une visite de quatre jours au cours de laquelle il a inaugureé la Ve Conférence générale de l’Episcopat latino-américain qui, espère-t-il, donnera un nouvel élan et une nouvelle vigueur missionnaire à ce continent.
La visite du souverain pontife au continent qui conte la moitié des catholique du monde poursuivait trois objectifs principaux : «l’engagement pour assurer le renforcement de la famille, comme cellule de base de la société ; l’engagement à l’égard des jeunes, dont la formation constitue un facteur décisif pour l’avenir d’une Nation, et enfin, et non le moindre, l’engagement dans la défense et la promotion des valeurs sous-jacentes dans toutes les couches de la société, surtout au sein des populations autochtones ».

La prépondérance catholique latino-américaine est du jour en jour menacée et fragilisée par les sectes évangéliques qui provoquent beaucoup de défragmentations côté catholique. Pour la plupart des média y voyaient la vraie raison de cette visite, celles avancées par le Vatican n’est qu’un camouflé. Dans son éditorial du Journal télévisé du soir de l’arrivée du Pape au Brésil France2 s’est posée la question de savoir Benoît XVI sera capable de relever le défi. En effet selon IBGE le nombre des catholiques au Brésil est passé de 83,3% en 1990 à 73,89% en l’an 2000, soit une diminution de plus de10%.

Contre toute attente, c’est sur un autre terrain que le Pape répondra à ces allégations journalistiques. Au lieu de se contenter d’analyser les effets, Benoît XVI ira chercher la cause de la précarité sociale de bon nombre de pays de l’Amérique latine dans les deux systèmes qui promettaient au pauvre un lendemain meilleur: le marxisme (tentation d’une certaine tendance de la théologie de la libération) et le capitalisme. Le pontife Romain n’est pas allé par quatre chemins pour les condamner et les renvoyer dos à dos : « Ni marxisme ni capitalisme, il faut l’Evangile du Christ pour libérer les pauvres ».

Ces deux systèmes qui exploitent plus les jeunes, en favorisant la consommation des drogues fortes les exposent à la merci de tout prédateur et vendeur d’illusions. C’est ainsi que le Pape a mis en garde les trafiquants de drogue à travers le monde : « Je demande par conséquent aux trafiquants de réfléchir au mal qu’ils sont en train de faire à une multitude de jeunes et d’adultes de toutes les couches sociales : Dieu leur demandera des comptes pour ce qu’ils ont fait ».
Interviewé par Radio Vatican sur la question des sectes religieuses, le cardinal Tarcisio Bertone déclarait : «Hélas, le phénomène des sectes représente un phénomène qui afflige non seulement le continent latino-américain, mais aussi le Nord de l’Amérique, et nos pays aussi ». Pour le numéro deux du Vatican, seule une Eglise plus « accueillante » peut relever le défi des sectes.
C’est cette Eglise accueillante, fustigeant tout népotisme et toute exploitation de l’homme par que Benoît XVI a prêché lors de sa visite au Brésil. Une Eglise qui croit en la famille formée par l’homme et la femme, cellule de base de la société. Une Eglise qui prépare les jeunes à leurs futures responsabilités de chrétiens et de citoyens dans la lucidité, à la lumière de l’Evangile. En concluant son voyage, Benoît XVI a demandé aux évêques du Brésil d’ « entreprendre l’activité apostolique comme une vraie mission au sein du troupeau que constitue l’Eglise catholique au Brésil, en promouvant une évangélisation méthodique et systématique pour une adhésion personnelle et communautaire au Christ »
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Paul NZINGA N'DITU

Ni marxisme ni capitalisme, l’Evangile du Christ pour libérer les pauvres


Du mercredi 09 au dimanche 13 mai, le Pape Benoît XVI s’est rendu au Brésil pour une visite de quatre jours au cours de laquelle il a inaugureé la Ve Conférence générale de l’Episcopat latino-américain qui, espère-t-il, donnera un nouvel élan et une nouvelle vigueur missionnaire à ce continent.

La visite du souverain pontife au continent qui conte la moitié des catholique du monde poursuivait trois objectifs principaux: « l’engagement pour assurer le renforcement de la famille, comme cellule de base de la société ; l’engagement à
I ira chercher la cause de la précarité sociale de bon nombre de pays de l’Amérique latine dans les deux systèmes qui promettaient au pauvre un lendemain meilleur: le marxisme (tentation d’une certaine tendance de la théologie de la libération) et le capitalisme. Le pontife Romain n’est pas allé par quatre chemins pour les condamner et les renvoyer dos à dos : « Ni marxisme ni capitalisme, il faut l’Evangile du Christ pour libérer les pauvres ».

Ces deux systèmes qui exploitent plus les jeunes, en favorisant la consommation des drogues fortes les exposent à la merci de tout prédateur et vendeur d’illusions. C’est ainsi que le Pape a mis en garde les trafiquants de drogue à travers le monde : « Je demande par conséquent aux trafiquants de réfléchir au mal qu’ils sont en train de faire à une multitude de jeunes et d’adultes de toutes les couches sociales : Dieu leur demandera des comptes pour ce qu’ils ont fait ».

Interviewé par Radio Vatican sur la question des sectes religieuses, le cardinal Tarcisio Bertone déclarait : «Hélas, le phénomène des sectes représente un phénomène qui afflige non seulement le continent latino-américain, mais aussi le Nord de l’Amérique, et nos pays aussi ». Pour le numéro deux du Vatican, seule une Eglise plus « accueillante » peut relever le défi des sectes.

C’est cette Eglise accueillante, fustigeant tout népotisme et toute exploitation de l’homme par que Benoît XVI a prêché lors de sa visite au Brésil. Une Eglise qui croit en la famille formée par l’homme et la femme, cellule de base de la société. Une Eglise qui prépare les jeunes à leurs futures responsabilités de chrétiens et de citoyens dans la lucidité, à la lumière de l’Evangile. En concluant son voyage, Benoît XVI a demandé aux évêques du Brésil d’ « entreprendre l’activité apostolique comme une vraie mission au sein du troupeau que constitue l’Eglise catholique au Brésil, en promouvant une évangélisation méthodique et systématique pour une adhésion personnelle et communautaire au Christ ».
Paul NZINGA N'DITU

lundi 14 mai 2007

Un ordinateur, comment ça fonctionne, 'pa?

Aujourd'hui je voudrais vous parler du fonctionnement de quelque chose que nous utilisons chaque jour. Sans son appui, nous ne posons pas travailler efficacement et rapidement. Cette chose fait tellement partie de notre vie qu'elle est devenue comme quelqu'un parmi nous. Cette chose est l'ordinateur.

Pour ce, je ne veux pas aller au fond des choses au risque de recourir à un langage trop technique ou scientifique. Je vais tout simplement comparer le fonctionnement de l’ordinateur à celui de l'homme.

Comme nous le savons bien, l'homme est composé de deux parties: l’une visible, le corps et l’autre invisible, l'esprit, l'intelligence. L'Ordinateur a aussi une structure similaire : sa partie visible est le Hardware et celle invisible le Software.

Cependant il y a une grande différence entre l'homme et l'ordinateur concernant le langage propre de chacun. Pour s’exprimer, l’homme recourt à un langage fait des lettres codifiés dans l'alphabet et des chiffres ou nombres : c’et le langage "alphanumérique". L'ordinateur par contre a un langage totalement différent de celui de l'homme. Son langage est composé de seulement deux signes: zéro (0) et un (1): c'est le langage binaire ou digital. Il y a donc une grande difficulté de compréhension entre l'homme et l'ordinateur. Pour contourner cette difficulté, on besoin d’un médiateur ou interprète, capable de comprendre le langage de l’un et de l’autre. Cet interprète s'appelle Système d’Exploitation (Operating System). C’est le logiciel fondamental et indispensable qui est toujours livré avec l'ordinateur, sans quoi l'ordinateur serait, un tas de ferraille ou une simple quincaillerie. Le Système d’Exploitation rend donc possible le "dialogue" entre l’homme et l'ordinateur. Ainsi, quand quelqu'un a un ordinateur il lui est souvent demandé non la marque mais plutôt le système d’exploitation: « Ton ordinateur, est-ce un Windows ou un Macintosh »?

Parlons maintenant du fonctionnement interne de l'ordinateur. Comme l'homme, l'ordinateur recourt à trois fonctions principales: voir, juger et agir. Pour l'ordinateur, ces trois fonctions sont dédiées à trois mémoires.

La première mémoire, le ROM (Reading Only Memory) permet de lire ou voir sur écran les données contenues dans l'ordinateur mais sans la possibilité de les toucher ou de les transformer.

La deuxième mémoire, le RAM (Random Acces Memory) permet d'agir, c'est-à-dire d'ajouter ou transformer les données.

Et la dernière mémoire, la mémoire de masse, permet de stocker, et d’emmagasiner les données dans les supports comme le disque dur (Hard disk), les disquettes, les disques optiques (CD et DVD) et la clé USB (Pen Driver). Cette mémoire nous aide de nous rappeler des données stockées afin de les juger.

Pour réaliser toutes ces fonctions avec une vitesse incroyable, l'ordinateur tout comme l'homme, a besoin d’un cerveau. Contrairement à ce que pensent quelques-uns ils, le cerveau de l'ordinateur n'est pas le disque dur, mais le microprocesseur. Le disque dur, comme nous l’avons dit en parlant de la mémoire de masse, est un support pour emmagasiner les données. D’ailleurs, les premiers ordinateurs n'avaient pas ce dispositif interne de stockage. Ils utilisaient des supports extérieurs, comme les disquettes, pour charger en mémoires les programmes utiles pour chaque tâche.

Par contre le microprocesseur y était présent. C'est l'unité arithmétique et logique de l'ordinateur, un circuit intégré spécialisé, capable de traiter en une seule fois une certaine quantité de données, un peut comme le cerveau humain.


Donc comme l'homme, l'ordinateur a un corps, le Hardware; un cerveau le Microprocesseur et un esprit ou une intelligence, le Software.


Voici pour terminer une anecdote à propos de la réaction de la petite sœur de Blaise Pascal lorsque ce dernier inventa la première machine automatique de calcul, considérée comme l’un des ancêtres de l’ordinateur : « L’esprit avait été en quelque sorte capturé par la machine car elle était capable d’exécuter sans erreur toutes sortes de calculs, chose extraordinaire sans crayon, mais bien plus, sans connaître l’arithmétique ».

Paul NZINGA N'DITU

EAU OU COCA-COLA ?

EAU

Un verre d'eau enlève la sensation de faim pendant la nuit pour presque 100% des personnes au régime comme le démontre l'université de Washington.

Le manque d'eau est le facteur N°1 de la cause de fatigue pendant la journée.

Des études préalables indiquent que de 8 à 10 verres d'eau par jour pourraient soulager significativement les douleurs de dos et d'articulations pour 80% des personnes qui souffrent de ces maux..

Une simple réduction de 2% d'eau dans le corps humain peut provoquer une incohérence de la mémoire à court terme, des problèmes avec les mathématiques et une difficulté de concentration devant un ordinateur ou une page imprimée.

Boire 5 verres d'eau par jour :

- Diminue le risque de cancer du colon de 45 %

- Peut diminuer le risque de cancer du sein de 79% et de 50% la probabilité de cancer à la vessie.

Bois-tu la quantité d'eau que tu devrais, tous les jours ?

COCA COLA

Dans beaucoup d'états des USA les patrouilles ferroviaires chargent 14 litres de Coca Cola dans leur porte-bagages pour nettoyer le sang sur la route après un accident.

Si on met un os dans un conteneur avec du Coca Cola, l'os se dissoudra en 2 jours.

Pour nettoyer les WC, versez une canette de Coca Cola et laissez "reposer", ensuite tirez la chasse d'eau.

L'acide citrique du Coca Cola ôte les taches sur la vaisselle.

Pour enlever des taches de rouille du pare-chocs chromé des autos frottez le pare-chocs avec un morceau de feuille d'aluminium détrempée avec du Coca Cola.

Pour nettoyer des objets rongés par des pertes de liquide de batteries d'automobiles, versez une canette de Coca Cola sur la corrosion.

Pour enlever des taches de gras des vêtements verser une canette de Coca Cola dans la machine à laver avec les tissus tachés et ajouter la lessive.

Le Coca cola aidera à enlever les taches de gras.

Le Coca Cola aide même à nettoyer le pare-brise des automobiles..

Pour notre information :

Le principe actif du Coca Cola est l'acide phosphorique.

Son PH est 2.8 et dissout un ongle en 4 jours environ.

L'acide phosphorique en outre vole le calcium des os et est la principale cause d'augmentation de l'ostéoporose.

Il y à quelques années une étude fut réalisée en Allemagne pour connaître les raisons d'apparition de l'ostéoporose chez des enfants de 10 ans (pré-adolescent).

Résultat : excès de Coca Cola, à cause du manque de contrôle des parents.

Les camions qui transportent le Coca Cola sont identifiés avec une étiquette MATÉRIEL DANGEREUX .

Les distributeurs de Coca Cola l'utilisent pour nettoyer les moteurs de leurs camions de plus de 20 ans.

Encore un détail : le Coca light est considéré par les médecins et les chercheurs encore plus comme une bombe à retardement à cause du mélange Coca + Aspartame.

Il est suspecté d'être la cause du Lupus et des dégénérations du système nerveux.

Et pour finir, il est conseillé de ne jamais se laver les dents après avoir bu du Coca Cola parce qu'il enlève tout l'émail, et il l'enlève pour toujours !

Alors, verre d'eau ou de Coca ?


N'oublie pas d'envoyer ce message à tes AMIS, ils te remercieront et leurs enfants, plus tard, aussi.

dimanche 13 mai 2007

La France a perdu une occasion



Les élections du pays dont la révolution a inauguré notre époque, ont toujours été suivies avec beaucoup d’attention par le monde entier. Mais celles de 2007 ont été un peu plus spéciales : pour la première fois dans l’histoire du pays de Voltaire, une femme a pu franchir la barre due premier tour pour se retrouver parmi les deux candidats du deuxième tour : Ségolène Royal. Avec elle, la France s’apprêtait à rejoindre les pays de l’Union Européenne dirigés par une femme.

Tous les média, français et internationaux avaient plus focalisé leur attention sur la candidate socialiste Ségolène Royal que sur son adversaire de droite, Nicolas Sarkozy. Et toute la machine politique dela gauche française était mise à fond pour arracher une victoire écrasante au second tour. A en croire les media, plus rien ne pouvait empêcher Ségolène de rejoindre Angela Merkel.

Dans sa stratégie, la candidate socialiste a mis en avant plan sa féminité afin d’attirer vers elle les électeurs. Séduisante, charmante et envoûtante; elle avait tout ce qui pouvait attirer l’attention et la pitié sur elle. Cette stratégie qui misait plus l’apparat féminin l’a plus présentée comme une femme en politique que une politicienne femme comme son homologue allemande, Angela Merkel.

Dans sa stratégie, Royal avait confondu deux domaines : la politique et la publicité hollywoodienne. En politique il ne suffit pas de charmer, séduire et envoûter, mais aussi convaincre et persuader. Un débat politique n’est pas une tribune où l’on vient exposer ses sentiments et émotions, mais c'est le lieu où l’on doit sécuriser tout un peuple et lui démontrer, à l’instar du capitaine d’un navire, quoi qui surviendra, le chef sera toujours à son côté, se préoccupant du sort de chacun d’eux et tient la barre contre vents et marées. Calme et serein, comme un bon pasteur qui a entre ses mains le destin du troupeau, il le conduit vers le prês pâturage. Tout comme en rhétorique, il y a trois aspects importants pour une victoire politique : l’Ethos, le Pathos et le Logos.

L’erreur stratégique de la candidate favorite des français a été bien exploitée par son adversaire, qui évitant tout piège pouvant le ramener à son point faible - l’énervement et la colère - Nicolas Sarkozy s’est présenté comme un politicien serein et aguerri. Par contre, celle que les français considéraient comme une politicienne expérimentée a trop insisté sur son Pathos féminin sacrifiant ainsi le Logos et diminuant sont Ethos. Une telle attitude sera désavouée de tous en commençant par les françaises qui ne lui prêteront que 45% de voix.

Avec cette erreur stratégique, la France venait de perdre une occasion d’avoir pour la première fois de son histoire, une femme à l’Elysée.